Cologne vs Eau de toilette: what is the difference?

Cologne vs Eau de toilette: what is the difference?

Fragrances may be invisible when worn, but they have a lot of sway when it comes to how others view you. No pressure, then. Aside from how the juice smells – which is dictated by its ingredients, also known as ‘notes’, in the trade – finding the correct concentration is essential. Too light, and it’ll be gone before you’re out the door. Too intense, and it can leave everyone within a mile radius feeling like they just huffed glue.

To ensure you hit the sweet (smelling) spot in-between, ahead is a brief explainer about the difference between two of the most common concentrations: cologne and eau de toilette. Tell your fellow commuters they can thanks us later.

What is cologne?

Eau de cologne (or simply “cologne”) is one of the oldest forms of perfume in the Western world, dating back as far as the 14th century. Though today the term is often misused to describe any masculine scent, it refers specifically to a low-concentration fragrance containing just 2-4% oils, diluted predominantly with alcohol.

That doesn’t mean colognes aren’t worth a sniff, though. They are typically created using citrus and herbal notes, including bergamot, grapefruit, lavender and neroli, making them brilliantly bright, fresh and incredibly easy to wear.

What is eau de toilette?

Despite translating literally to “toilet water”, a well-picked eau de toilette is anything but a stinker. One of the most popular and accessible forms of fragrance, they typically contain a 10% oil concentration, placing eau de toilette somewhere between eau de cologne and eau de parfum both in terms of strength and price.

Fresh top notes such as citrus are usually given centre stage, with richer ingredients like cedarwood and amber brought in at the base as a supporting act.

Cologne vs eau de toilette: what’s the difference?

Attempting to memorise the difference between cologne and eau de toilette (and aftershave and cologne, and cologne and perfume) is enough to give you a headache before you even start sniffing scents.

“The main difference is the concentration and therefore the lasting power,” explains Alex Goddard, training manager at Italian fragrance house Acqua di Parma. “A traditional eau de cologne will usually last up to two hours and an eau de toilette up to four hours.”

That said, Goddard doesn’t suggest putting too much emphasis on the words on the bottle. “Different fragrance strengths are associated with different types of raw material, and different types of raw material typically have different lasting powers.”

In a nutshell, what smells you like will ultimately dictate which one you go for and how long your fragrance will last. Just remember to adjust how much you apply, and how often, to the strength of your fragrance.

(Image credit: Maurer & Wirtz)

One To Try: Maurer & Wirtz 4711 Original Eau de Cologne

Arguably the most famous cologne in the world, 4711 is widely recognised as one of the oldest fragrances still in production. Launched in 1792, it’s an uplifting blend of citrus fruits and aromatic herbs, making it ideal for the office or summer holidays. You’ll need to reapply it often, but at less the price than a round of drinks, you can easily afford to.

(Image credit: Dior)

One To Try: Dior Sauvage Eau de Toilette

An instant classic 10 years in the making, Dior Sauvage was released in 2015 and didn’t take long to establish itself as the UK’s bestselling fragrance. Inside, crisp bergamot and spicy pepper are rounded out with lavender and geranium for a juice that’s strong but not overpowering. Plus, the brand has just launched a handy refill bottle to cut down on packaging.

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J’adore, Joy, Sauvage… Les secrets des parfums Dior dévoilés

France 24

En publiant le rapport du renseignement américain sur l’assassinat de Jamal Khashoggi, très compromettant pour le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane, l’administration Biden semble avoir acté son rejet de l’homme fort de Riyad. Retour sur une déchéance annoncée. Le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane (MBS) avait raison de redouter l’entrée à la Maison Blanche du démocrate Joe Biden aux dépens de Donald Trump, alors qu’il avait tout misé sur une réélection du milliardaire américain, dont il était l’un des protégés.Au lendemain de la déclassification par Washington d’un rapport du renseignement américain sur l’assassinat de Jamal Khashoggi, qui l’accuse d’avoir “validé” l’opération visant à “capturer ou tuer” le journaliste saoudien, MBS apparaît comme le grand perdant, sur la scène diplomatique du Moyen-Orient, de l’élection de Joe Biden à la présidence des États-Unis.Le démocrate, qui souhaite “recalibrer” les relations entre Washington et Riyad en rompant avec la diplomatie de l’ère Trump dans la région, n’a jamais caché son hostilité à l’égard du jeune prince, notamment pendant la campagne présidentielle.Un désaveu public au retentissement internationalEt si Washington a décidé de ne pas sanctionner MBS, le désaveu public au retentissement international qu’elle vient de lui infliger ruine les efforts du fils du roi Salmane pour réhabiliter son image et celle de son pays déjà très écornées. Il s’agit d’un coup dur pour celui qui se présentait en Occident comme un prince ouvert et réformateur, déterminé à libéraliser, en douceur, un royaume rigoriste et ultraconservateur.Nommé ministre de la Défense, puis prince héritier en juin 2017 par le roi Salmane, sur le trône saoudien depuis janvier 2015, MBS, décrit comme impulsif et pressé, a connu une ascension fulgurante. Notamment grâce à son projet de transformation de l’économie saoudienne – trop dépendante du pétrole – et son engagement à lutter contre la corruption et le terrorisme.Mais ses initiatives ont été rapidement éclipsées par ses méthodes de gouvernance brutales et une dérive autoritaire à l’intérieur du pays. En quelques mois, il devient le dirigeant de facto du royaume wahhabite en le faisant passer d’une monarchie basée sur un consensus entre les différentes branches de la famille royale à un régime personnalisé dans lequel les pouvoirs sont concentrés entre ses mains.Ses offensives de charme et ses tournées à l’étranger sont très médiatisées et font quelque peu oublier les campagnes expéditives d’arrestations menées dans le royaume à l’endroit de membres de la famille royale, de militants des droits de l’Homme, d’intellectuels et de critiques.Des dérives plusieurs fois dénoncées par Jamal Khashoggi, qui s’était exilé à partir de 2017 aux États-Unis, dans des éditoriaux sans concession publiés dans le Washington Post.Mais c’est surtout la tempête internationale déclenchée par l’assassinat du même Jamal Khashoggi, le 2 octobre 2018, qui va ternir l’image de Mohammed ben Salmane, et remettre sur le devant de la scène médiatique le lourd bilan de la pétromonarchie wahhabite en matière de droits de l’Homme.Restriction des libertés d’expression et d’association, interdiction des rassemblements pacifiques, liberté religieuse hors islam inexistante, procès inéquitables, discrimination envers les femmes et la minorité chiite, exercice de la torture et peines de mort arbitraires… Si la nature répressive de la monarchie saoudienne, régie par une version rigoriste de la charia, la loi islamique, à l’égard de toute contestation interne a toujours été de rigueur, la situation s’est durcie depuis la montée en puissance du prince héritier.Un allié embarrassant pour les États-UnisAu niveau diplomatique, le bilan censé légitimer MBS sur le plan international est tout aussi négatif, alors que sur ce plan aussi, il a tenté la manière forte. “Qu’il s’agisse du bourbier yéménite qui est devenu un Vietnam aux portes du royaume, qu’il s’agisse encore de l’embargo musclé destiné à faire fléchir le Qatar, ou bien encore du coup de force contre le Liban avec l’affaire de la vraie fausse démission du Premier ministre Saad Hariri… Aucune de ses initiatives n’ont permis aux Saoudiens de renforcer leurs positions sur l’échiquier régional face à l’Iran”, résumait il y a quelques mois Karim Sader, politologue et consultant spécialiste du Golfe, interrogé par France 24.Au Yémen notamment, où il avait engagé le combat en mars 2015, les rebelles houthis chiites, soutenus par Téhéran, résistent toujours à la coalition internationale, alors que le conflit a provoqué ce que l’ONU qualifie de “pire crise humanitaire du monde”.Adoubé en mai 2017 par le président américain Donald Trump, alors en visite en Arabie saoudite, MBS lie sa diplomatie à celle de l’administration Trump, focalisée comme lui sur la menace iranienne. Il se rapproche de Jared Kushner, le gendre du président chargé du dossier moyen-oriental. Des relations privilégiées et un accès direct au bureau Ovale qui lui seront très utiles au moment de l’affaire Khashoggi.Alors qu’il apparaît désormais comme un allié embarrassant pour les États-Unis, le président Donald Trump le défend personnellement, pour assurer la caution saoudienne à son “deal du siècle” au Proche-Orient et à l’ouverture de relations diplomatiques entre certains pays du Golfe et Israël.Mais de leur côté, la presse américaine et le camp démocrate ne ménagent pas le fils du roi saoudien, qui finit par assumer “toute la responsabilité” de l’assassinat du journaliste tout en démentant en être le commanditaire.En octobre 2018, le magazine américain Newsweek dévoile un entretien inédit – et non daté – avec Jamal Khashoggi dans lequel ce dernier estime que MBS n’est autre qu’un “dirigeant tribal rétrograde”, jouissant d’un pouvoir “autocratique” et ne recherchant aucunement une ouverture du régime saoudien à la démocratie. Le journaliste assure également dans cet entretien craindre pour sa vie.Jusqu’ici, Riyad n’a jamais révélé où se trouvait le corps du journaliste, qui n’est pas réapparu après un rendez-vous administratif au consulat saoudien d’Istanbul, le 2 octobre 2018.Avec la publication du rapport de la CIA, l’homme fort de la monarchie wahhabite n’est plus intouchable. L’arrivée à la Maison Blanche de Joe Biden, qui a multiplié les décisions défavorables à MBS (main tendue à Téhéran dans l’optique d’un éventuel retour dans l’accord sur le nucléaire iranien, restrictions sur les livraisons d’armes à Riyad), a sans doute fait perdre au prince le sentiment d’impunité dont il jouissait durant l’ère Trump.Reste à savoir quel sera l’avenir de MBS au sein du royaume, et si l’administration américaine n’est pas en train d’enclencher un processus visant à provoquer sa chute.

How to choose the right cologne or aftershave: 5 expert tips

Fragrances are a lot like clothes. They only really work if you choose the right ones at the right time. Think about it, you wouldn’t show up to a beach resort in a cashmere roll neck, cummerbund and one ski, would you? In the same vein, there are certain dos and don’ts when it comes to your de toilette.

“This is why educating yourself in basic perfumery can be very useful to making better choices,” agrees Emmanuelle Moeglin, founder of the Experimental Perfume Club. “If you know what you like, and what works for what you need, then you can better search for it.”

Best men’s fragrances and colognes: discerning scent

Ahead are five expert tips to help you sift through the surplus of scents so you can choose the right aftershave or cologne every time.

Here are some useful rules to follow when choosing your fragrance:

Learn The Lingo: A lot of men unknowingly use terms like aftershave and cologne interchangeably, but these actually refer to a fragrance’s concentration levels and ultimately determine how long a scent will last. An Eau Fraiche is the weakest, sticking around for just 1-2 hours, followed by eau de cologne, eau de toilette, Eau de parfum and finally parfum, which will still be filling the room long after last orders. You can adjust this sliding scale (and your budget) to whether you’re looking for a simple post-shower spritz or an olfactory all-nighter for parties and weddings.

A lot of men unknowingly use terms like aftershave and cologne interchangeably, but these actually refer to a fragrance’s concentration levels and ultimately determine how long a scent will last. An Eau Fraiche is the weakest, sticking around for just 1-2 hours, followed by eau de cologne, eau de toilette, Eau de parfum and finally parfum, which will still be filling the room long after last orders. You can adjust this sliding scale (and your budget) to whether you’re looking for a simple post-shower spritz or an olfactory all-nighter for parties and weddings. Know Your Notes: You don’t need a PHD in perfumery to find a good fragrance, but it does help to know how they’re made. Most traditional men’s fragrances are built in three layers. The top notes are the ones you’ll smell first, but these quickly fade, giving way to the middle notes which linger slightly longer before you’re left with the base notes. Look out for notes that frequently crop up in the fragrances you like, and the search for new ones will be much easier.

You don’t need a PHD in perfumery to find a good fragrance, but it does help to know how they’re made. Most traditional men’s fragrances are built in three layers. The top notes are the ones you’ll smell first, but these quickly fade, giving way to the middle notes which linger slightly longer before you’re left with the base notes. Look out for notes that frequently crop up in the fragrances you like, and the search for new ones will be much easier. Shop For The Occasion: Just as you dress for the occasion, you should spray for it too. Luckily, all this talk of fumes needn’t give you a headache. Each fragrance falls under a ‘family’ – such as woody, citrus, floral, or oriental – which is usually a giveaway of when it’s best deployed. For example, work colleagues will appreciate you opting for a light citrus scent featuring neroli over a heady oriental oud, while a date almost certainly calls for something earthy and musky.

Just as you dress for the occasion, you should spray for it too. Luckily, all this talk of fumes needn’t give you a headache. Each fragrance falls under a ‘family’ – such as woody, citrus, floral, or oriental – which is usually a giveaway of when it’s best deployed. For example, work colleagues will appreciate you opting for a light citrus scent featuring neroli over a heady oriental oud, while a date almost certainly calls for something earthy and musky. Try Before You Buy: To properly shop for a fragrance, you need to wear it. Not only do scents change over time, they also react differently to different body chemistry – meaning what smells good on blotting paper won’t necessarily smell the same on you. Even if you’ve made it your mission to find a signature scent that you’ll stick with for life, limit your testing to four. Spray one on each wrist and on the inside of each elbow, then let them develop over three to four hours before picking the one that comes up smelling roses (or citruses, or spices.)

To properly shop for a fragrance, you need to wear it. Not only do scents change over time, they also react differently to different body chemistry – meaning what smells good on blotting paper won’t necessarily smell the same on you. Even if you’ve made it your mission to find a signature scent that you’ll stick with for life, limit your testing to four. Spray one on each wrist and on the inside of each elbow, then let them develop over three to four hours before picking the one that comes up smelling roses (or citruses, or spices.) Research The Classics: With hundreds of revivals, remixes, relaunches and rebottlings happening every year, it can be hard to sniff out a fragrance that will have staying power, both on your shelf and your skin. Though you should always buy for personal taste, if you’re worried about smelling like last year’s trend, consider sticking to the classics. Only a few colognes have clawed their way into the grooming hall of fame (think Dior Sauvage, Terre d’Hermes and Bleu de Chanel), making it hard to go wrong.

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